24 septembre 2023

Esprit Libre, le média

Libre et sans pub

La jeunesse ping et le haut niveau pong !

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Vous le savez ? Mais oui, j’en suis persuadé : vous le savez. On ne dit pas « Ping-pong », mais « tennis de table » quand on sait de quoi on parle. Justement, on parle de quoi dans cet article intelligent et authentique ? Eh bien, nous évoquons un sport qui, du côté de Rouen, commence à s’inscrire sérieusement dans les tablettes des politiques. Il n’y a donc pas que le foot dans la vie rouennaise !

Pour une finale !

Mardi 30 mai à 19h15, au Kindarena, l’équipe de tennis de table du S.P.O.R, classée troisième en Pro A, a rencontré les Loups d’Angers (deuxième) lors d’une demi-finale qui s’est soldée par une victoire de Rouen sur le score de 3 à 1. Il faudra attendre le 2 juin et le résultat de la rencontre retour à Brest pour connaître l’un des finalistes. Pour en savoir plus sur cette excellente prestation, je vous renvoie à l’article du Paris Normandie ici Je ne vais pas répéter ce qui a été très bien expliqué par le rédacteur de notre quotidien que la terre entière nous envie. Bonne chance quand même pour y comprendre quelque chose avec toutes les pubs qui inondent l’article…. Bref Ils ont gagné! mais « ils » c’est qui ?

Un club historique

ce lien et vous saurez tout sur le S.P.O.R – Tennis de table. Deux ou trois petits trucs quand même, histoire de dire que je bosse un peu pour cet article : Le S.P.O.R et le haut niveau, c’est une histoire d’amour qui dure ! Voilà plus de 20 ans que ce club se hisse au plus haut niveau des divisions françaises, mais aussi dans l’excellence de la formation. Oui, les amis. Et comme le Jabadao est une spécialité bretonne, le tennis de table rouennais peut s’enorgueillir de tapisser de liserés d’or la belle maison France…

Le soutien métropolitain

David Lamiray

Alors que Cui-Cui était parti batifoler dans des studios de télévision pour sauver le soldat « P.S. », c’est l’un de ses potes, David Lamiray, maire de Maromme, qui était de sortie. On aurait pu tomber sur pire ! L’édile marommais est connu pour son engagement dans le développement du sport. D’ailleurs, du côté du conseil métropolitain, il est en charge du sport. Mais bon sang, mais c’est « bien sûr », tout s’explique. Voilà pourquoi il était là ! Tennis de table – demi-finale – Kindarena… Logique implacable. Notre Vice-Président des sports dira même un petit mot au public venu en nombre pour l’occasion, expliquant que « puisque le tennis de table rouennais avait de bons résultats grâce à de gros efforts, la métropole en fait de même en accueillant cette rencontre » qui se terminera, rappelons-le, par une victoire. La métropole a eu le nez fin !

Un public hyper jeune

Outre quelques vieux débris comme moi, la salle était remplie de jeunes ! 85 % du public possédait cette ferveur, une fougue qui faisait du bien. Ça change des croutons de l’Opéra de Rouen ! Non, je rigole. J’aime bien l’Opéra. La preuve, j’y vais tous les 20 ans ! Je ne m’attendais pas à autant de public. Et même à 3 euros la place, ça réchauffait mon cœur d’ancien sportif de découvrir autant de licenciés en tennis de table. Oui, car non seulement il y avait beaucoup de jeunes, mais en plus la plupart étaient licenciés en tennis de table. Content, Rosco !

Une organisation énergique

Et pour terminer cet article (cette bafouille d’écriture), soulignons l’excellente organisation qui incombait au S.P.O.R – Tennis de table. Allez, je vous le dis ? J’aime bien l’envers du décor. J’apprécie les petites mains qui bossent pour permettre au public d’être choyé comme il faut. Je n’ai pas été déçu. J’ai rencontré des jeunes encadrés par des anciens : voilà en quelques mots la recette d’une bonne organisation ! En plus, il ne fallait pas faire n’importe quoi, car le préposé aux finances du club veillait sans trop le montrer au bon fonctionnement des opérations. Ambiance conviviale, rires, sourires et sérieux dans le rendu de la monnaie. De ce passage, il ressort que le monde du tennis de table rouennais peut être fier de son club, le S.P.O. Rouen. Ambiance positive, match gagné, soirée réussie. Rien pour fâcher le président du club !

Frédéric Quillet

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