Il bloubloute sur un chemin saccadé de larmes de songes
Il sursoit à l’illusion du prêcheur de nénuphars
Prime d’abord sur le centre des fleurs confites de lumière
Une tasse de pont sur un champ de lunes
Le jardin des conséquences n’est qu’un mythe apparent
Entretenu par le fidèle claudion, roi du couac à palette
Il intègre le bonheur sur un paysage fébrile et fade
L’homme n’a plus d’idéal et se cache derrière le monde virtuel
La vertu chez Claudion, c’est le jardin des conséquences
Le monde à l’envers de l’humanoïde cède sa place au peintre de lumière
Et sur le pont du rabot roucoule l’âme saine !
Impressionnant !
F.Q