Le talent perdu, il fonçait sur sérinity-street
L’homme dépouillé, inconsolable à géométrie variable
Glissait sur un nuage enneigé immobile et céleste
Son hure digérée, il prépare le repos du dieu-berger
Là-haut, tout se ressemble de la guimauve au printemps
Sur les fils conducteurs, prospère le gazouillis fragile du soleil
Le bavard s’escorte en pênes inconsolées bloquant l’amer passage
l’écho des mémoires perdues sillonne les villes atomiques
Tout est déterroctèrre ! Tout est sans raison et sans tisons d’amour
L’incrédule vagabonde sur la lente embouchure de l’éternité
Il n’y trouve que des cloches élastiques sevrées de toute lumière
Rien que la nuit grésillant à pleines mandibules, pelant le temps
Et puis, il y a Frida la blonde aux pieds couverts de paix
Celle que Jacques chantait sur un écrin de notes victorieuses
Instants frénétiques de l’amour à clichés rompus
Je n’ai jamais vu Frida !
F.Quillet