Orage perlé sur un grognard de prétoire émasculé
L’oracle vaquait à ses occupations saugrenues péripolaires
Gesticule à foisonnement épiscopal, ce doigt pue la mitre carbonisée
L’oiseau-mouche se pose sur une symbiose à tire-d’aile encastrée sur une pelle
Soudain, le glougloute évidé de suspension talentueuse, sourit au parvenu
D’ailleurs dit-on « un » ou » une « glougloute ? On dit un fromage !
En outre, la croute dessinée pue telle un maroilles cloné 666 fois !
Maroilles, marnière, Marielle ! Oh ce culot démo tanique !
Rien ne sert de crouter, encore faut-il truquer à point ! Jalousie ?
Il ose publier des turcoples saugrenues et truffées de mélanges adipeux
Il ose tout et c’est à ça qu’on le reconnait !
Mais que se cache-toile derrière cette foutrole de parlures argentico-nucléaire ?
Une gousse d’ail, un point « t » , une perle d’automne ? Une déception lacafreudienne ?
Tout est possible dans ce monde-poubelle où l’échalotte courre plus vite qu’un slip ambitieux
Quel âtre d’été foule le pied endriblé de cafards nocturnes Picards et oxalique ?
Un Tuche de plus ? Un « coin-coin » universel ? un ponch de sauterelles biffées de sauce d’huitre ?
Le sait-il au moins ?
Uni et solidaire
Rendez-vous en enfer !
Salutations évolutionnaires
FQ-22