Il dénonce un autre “il”
L’offense se cache derrière l’offensé et la loi
Cri de sentence il est dans son bon droit
On ne peut pas héberger tous les “ils”
Mais toi, pirate du liberalisme, que défens-tu ?
Ta haine ? ton désespoir ? ton bifteck? tes propres privilèges
Ta peur ? tu trembles devant l’inconnu que tu englues de tes torpeurs
Sous cette stèle étatique, tu te retranches
Tes hanches sont serviles et tu reçois un bon point !
Nous nous souviendrons de toi car seules les montagnes s’ignorent
Et tu n’es qu’un moustique raciste insignifiant dans ta fiente liquide
Et nous exécuterons ta haine à coup de baume au cœur .
Frédéric Quillet