Balance ton masque

Balance ton masque

Quelle sorte d’appel à pâleur artistique astrale

Qui surgit de nul part et qui me tend la couette

Et vient le mot ardeur qui pâlit autant de rues moyenâgeuses

Tout s’enfonce en roman désuet pour lubrifier l’ogive fertile

Et se dérobe sous ton buste, la calotte de l’interdit

Et donne-moi la raison de cette mue interdite ?

le conifère bégaye de son être à feuilles simplifiées voulant savoir

Il ruse avec un russe bleu qui covide de sa déraison en chantant dix-neuf dix-neuf

Crète d’éthique qui souligne l’hermétique réponse du mur causal

C’est cela l’imprudence de l’oiseau-lecteur qui se rompt de certitudes additionnelles

Embuches accréditées par le roi manu circulant dans sa boiserie à coups de sectarisme ouvrier ! Seuls les pauvres pourront crever sans qu’on les empêche.

Vive le télétravail….Les autres…A l’usine !

Suspicion, cas contact, œil de sphinx, pudeur masquée !

les cicatrices d’une jeunesse perdues dans les champs magnétique d’une ruse à glaçons de terreur

Vision découpée du langage du moldu sournois qui t’ensourdine de crétins-menus.

Balance ton masque !

Frédéric Quillet

Expression Libre