A califourchon sur une trottinette, il domine le sel de la terre
Dans la purée de pois séchés par l’ordure ménagère, je renifle l’écoute du dimanche
la pivoine silencieuse qui rejoint le milieu de la porcelaine asséchée
Dans les viscère du scépulcre de st gorges, je soutiens les calambours de primtemps
Parti pour rechichigner la pignole du dimanche, j’ouvre la virgule
Elle est, condescendante sans fournir de voile impotantes
Parcourant l’ostracisme du ruisseau quotidien, j’achete l’eau tarie qui chante faux!
Celle-ci résiste à l’époque du buvard perdu à tintamare-sur-mesnil en mer
La tupérulance fit lever Dieu papa-caca ! Papa-caca papa-caca
Sans chat aligoté et 100 chasseur chassant engluer le printemps haute-vorltige
croupe incisive démentruealisée mais vierges, je détourne mon regard de gencive verte parbleu pic-cassette
je site au hasard l’hippodrome du silence daddyste !
Le pape rote comme tout le monde mais il ne moufte pas d’un yota n’y d’un doigt mal placè
L’ours brandille une calote enfumée de caramel mou étendu sur un ravin éclairé
Surtout, après avoir lu ce texte, n’appelez pas l’Hache-pet C’est peine perdue
Reprenez plutôt votre partie de billard sentimental, il faut repeupler la France !
Frédéric Quillet