parfum démuni au dessus des missiles brefs
Il a prié mille fois le chant du cygne
Pour pleurer perdu au dessus de son livre blanc
Ma requête s’adresse aux matins froids des guerres inutiles
Prestige des larmes bien dissimulées derrière la vie à vivre
Ainsi parle Loupo-Loupo mon ami Slave
Agité, ce jour, visage blême et rouge-sang à la fois
il ronge les freins de la mort des masques de cire
Quête meurtrie, affolante et avancée dans l’inconnu
Perdu, fiévreux, râlant sa soif de résistance jusqu’à la lie
Alice aime Loupo-Loupo et la proue de son soupirail
Elle lui donne l’espoir d’une autre issue que son fatalisme
Plein glacé de couleur et de joie pour Loupo-Loupo
L’enfant slave perdu depuis ce jour de salve qui tua ses parents
L’agonie d’un émoi apeuré pour un sourire arraché
Le temps n’effacera rien. Il ne fera que remâcher la vie
Et, sinon, vous êtes contents de votre I-Phone 13 ?
FQ – 23