Armistice des passions

Armistice des passions

Et voilà que je surgis de l’inconnu, de l’oubli, du rien. On dit souvent que le rien est un tout qui s’ignore. On ne dit jamais que le tout feint de rien ignorer. Simone Ignorée. Rêves de la source du vile absolu. Commune, secret impalpable, monde refusé. Crête de l’évidente sur un tiroir isocèle. Menue monnaie singée par le comte de Pessac.Philandrome de rougeur écarlate. 

Rectum des silences postillonnant sur le masque à boutons. Braik-gaÿme au vert ! 

Qui gît mage à Rault. Ci-gît les terres Nelsonnique bastion d’une liberté retrouvée. 

Substance aromatique qui rencontre le moulin décaféiné dominant le pic de l’abreuvoir naniste. Vers quel monde- sparadrap allons-nous. Sous quel univers prisonniers de ces codes minoritaires se ferme-t-on ? Ferme est le fermier envers son poulailler ! 

 Mystère. Cylindres, épervier, drôlerie de comptoir. Hic Hac Hoc ! Messe, méssi, mystique. 

Ma hache tangue au hasard de mes truites disloquées sur un établi de poissonnier véreux. Il est frais mon poisson ! Elle est ferme ma loi ! Il est indéniable mon pass ! 

Ces états gérent la merde qu’ils imposent aux autres. Domination ! Et paf ! Un tic-tac céleste les apeure. Bulle solitaire dans un espace soudain biscornu. On nous observe ? Dieu ? Ovide ? Ramses ? Mais qui a bien pu envoyer la sonde voyageuse qui intrigue les obscurs riverains planétaires ? 

Et puis, le sol relu, revisité, lance son chiste ! 

Et puis la jungle des oubliés aspire les phénomènes virussiques.

 Utopia, Dante inferno, Stoppeur, 

Et puis le temps tue la maître en écrasant sa belle montre au goût sec !

FRAIQUIET

Le daddysme