Tu ne recules jamais au crépuscule de l’hiver
l’âme s’ouvre où commence la plénitude
Même ton cri sur la portée dévolue
renonce au parfum dévêtu
Glaise glaise
Le baiser du survivant
Tout nous concentre sur l’esprit accroupi
Sur l’espace des vieux de paille froide
Connaitrai- je un jour l’essor de ce bois
Qui culmine sur le mont ensoleillé
Sans fixer l’ombre d’une absence
Glaise glaise
Croupier brillant, cheveux au vent
Sur ces vagues éperdues
Toutes voilées campées et délacées
Et sur le chemin révolu du sextant
Se presse le bec émérite de l’insolant
Glaise glaise
Brillant, brulant
Oserai je prier le dieu inutile
De quinconce en quinconce atrophiée
Et quand apparaîtra le temps des oubliés
Un péril de lumière brandira son trophée
Glaise glaise
Sur un banc défiguré
FQ-23