Octave silencieuse enrobée de glissades hédonistes
Dromadaire aux mains filtrées par un Juste
Etendu sur un aigle onduleux et cabossé
Les moches sourient sans passions sans soucis
Grognent les paluches du reptile parvenu
Noble silence de l’autre côté de la bannette
Du pain au levain et roule l’abbé Syclette
Quelle est cette brume entassée sous les flammes fortuites du temps
Qui éloigne de nos cœurs l’âme des anciens
Et l’étranger du village se souvient de sa mère éternelle
Protégée par Atar la déesse de l’hiver isolé
Comme une feuille de poitrine perdue dans l’immensité
Don des âges anciens crénatés d’un nouveau souffle
Offrir un refuge de certitudes erronées
Remonter au temps des reliques vénérées sous un ciel gratifié
Sous quelle oraison détournée en un silence périmé
Le page des lumières soumettra les idoles perdus
FQ-23