
Lumière, lumière, tu nous as abandonné !
Sous le ciel évadé s’ouvre l’œuvre capillaire du Gnate
Accord perdu éclairant le sol d’une gibecière trachéïtoprototypée
Ca tousse, ça tousse, ça tousse au delà du fessier bénit des demi-dieux
Sous les tons démesurés des étoiles catalectiques, le penseur cherche son cerveau
Il est à gauche, il est à droite, il est au centre, il est 4 heures !
L’aiguille de l’altimètre du désespoir est à son paroxysme
La Gnate gloussotte dans son bol de riz au vermicelle vermifugé
Audacieux crépuscule des roues lenticulaires qui empoisonnent les guidons
A quoi bon chercher une logique dans ce texte déterrocterre et pernicieux ?
Tout est une histoire de raccord; Changer de pile, changer d’accord
A quoi bon nuire puisque la male même nous catapulte dans les vestiges du temps
L’oracle des grottes clignote sous les ondes du passé rancunier
C’est le retour des monstres dans une Europe pacifiée sans pour autant être rectifiée
De rites en rites, de mœurs en morts, le sol craquelle de ses larmes de sang hémophile
Ils se sont cachés pour refaire le monde, pour polir leur pierre : Redoutable camouflé !
Maudit sois-tu faux maître émoussé ! Ton haut grade capitule face au retour de la bête
Tu t’es embourgeoisé, agaplifié ! Tu noies ta détresse humaniste dans le vin ébouriffé
Vagabond de l’outrance, graves ambons de sentence, ton pupitre sent le rance de l’infortune
Ton tablier craquelle pour une hypocrisie de posture symbolisée en clubs fermés
Aucun mots ne pourront te sauver car tes pairs t’ont condamnés
Ceux qui bâtir les temples, ceux qui polir leur pierre en diamant de liberté
Ceux qui furent les garants de l’humanisme ritualisé pleurent en t’observant
Fume donc ton dernier cigare, bois ta dernière coupe viniculaire car l’ombre débarque
Elle va te rafler la mise comme elle le fit jadis. Tu n’as finalement toujours rien compris !

FQ-25