Le soir souffle à quatre pattes Il sonde l’improbable illusion Sous les branches de l’olivier Sous le rêve d’Herbert, tu décodes Les cris des anciens Les carognes parallèles A bras – soupé, sur la mémoire des combles A l’aube de l’ampleur bleue Les empileurs s’empieuvrent de vérités Mais la nuit reste fidèle Tous dans le même sac ! Ils craquent […]
