Le soir souffle à quatre pattes
Il sonde l’improbable illusion
Sous les branches de l’olivier
Sous le rêve d’Herbert, tu décodes
Les cris des anciens
Les carognes parallèles
A bras – soupé, sur la mémoire des combles
A l’aube de l’ampleur bleue
Les empileurs s’empieuvrent de vérités
Mais la nuit reste fidèle
Tous dans le même sac !
Ils craquent les codes du temps
Et l’estain usé va se coucher
Sur une paillasse d’écolier
Dans un lit à trois places
Tout dépend du matin sinueux
A la fin, on attend sur les épluchures cuitées
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