Le plafond s’ouvre aux mariées étourdis
Il coule sa jeunesse dans l’étang bleu
Le haut bois sifflote de ses arbres ancestraux
Une Elfe, dès l’aube, a sonné le cors litigieux
Pour donner aux amantes un nid de coton apaisé
Tant d’instants difficiles pour un parcours apeuré
Aux lueurs du deuxième jour, ils s’énamourèrent
Un sens de vie où l’amour s’étend, protecteur des anges
Et s’éloignent les dos réfractaires fatigués de geindre
Et du tumulte ancien, s’arrime un cœur pour deux
FrEdErIc Quillet