Gémir sur l’été qui d’achève en vaine souffrance
Pas de croyance mûre même quand il ne sais pas
Sa manche ne tient pas le poing qui se tend et gémis
A côte perdue pour une neuvième fêlure masquée et portée
L’ abondante moisson nourrit l’enseignant guilleret
Il cueillera le fruit de ses lanternes mauves dans l’allégorie messianique
Et tu dépouilles le temps de ses lourdes minutes décisionnaires
C’est en pieux desséché que tu te présentes devant l’acropole printanière