Les parfums de la veille ont le cœur océane D’où surgit le câlin brumeux du départ Et dans ce café arrangé sur la terrasse allongée Valsent les poésies mémorielles d’une nuit agitée L’écrivain muet, attaché aux refrains périmés Part de galère en galère pour immortaliser l’instant Il désespère et assotte, même, le lecteur agité en bohème Il s’échine d’affirmer l’espoir […]
