Pli de plat, pif de flat, PAF-POUF
Il saisit le teint noir du cireur de miel sous le trottoir dealé Snif, snof et ligne de blanche atypique pointée vers le palantir de Morgul Toute cette révérence pour fondre un anneau magique! Faut-il…
Catégorie : Expression Libre
L’écran pétochard
Il vit sur une planche de bois bandé tenant sur une courgette à tube éclectique C'est l'écran pétochard Il fuit le mâle rugissant dominant la civière étoilée de l'os thermique du rongeur marqué Noir éteint,…
l’ombre de Pilate : 666
Dune du Pilat, prothèse du prélat praline pensive enrubannée de son liquide Souffre de cancrelat aragonitique qui surjoue sur la colline du mont Golgotha Golok, prieuré, Epicure, Translate culinaire, couscous boulétium synthétique : Sale odeur…
De guerre lasse…
Pyroclastique à volcan virevoltant sur l'épiderme du néant Sombre plasma qui ouvre la porte salée au salut des synapses éventées Vatriote déambulant dans les rues de Paris fuyant le joug du malandrin Sacre de Jupiter…
Rouen : Les Guignols s’invitent à la Halle aux toiles
C'est dans la salle d'honneur (excusez du peu) et dans une salle surchauffée avec les fenêtres grandes ouvertes (bravo à la mairie de Rouen pour son sens du respect de l'environnement), que nous avons assisté…
Titre saisissant !
L'homme se lève. Il détruit la cloche Il s'égard sur les minutes écoutées Un monde-clique, de table et de portées Fixatif, il se bat pour la ville mornifère L'acrobate s'enlise dans la mélasse Démarrage de…
J’ai pris des murs
J'écris, puis décris Ces silences, Comme les plus bruyant de mes cris Cette souffrance à outrance, Mais qui dans un sens Me mène à la délivrance Il m'a fallu avalé le poison, En faire la…
La vie est étrange
La vie est étrange... On arpente son chemin Par palier, par tranche A la poursuite du lendemain Les émotions se suivent comme les saisons Après l'orage vient le beau temps, Plus dur est l'hiver, meilleur…
Les I.glauques
Ils sont partis à corps perdus sur la ligne de crête A nous manger l'esprit au large des ruines médicales Il sont ancrés dans la démesure inhumaine, bustes tordus A nous viser de leurs colonnes…