Notre structure de loisir à consommation variable nous éloigne du message originel de l’art ou de toute forme de culture dont la vocation première serait de porter un message. Partage, convivialité, unité, vivre ensemble sont devenus des tendances ou, pire, des causes publicitaires.
Voyez comment celles et ceux qui veulent atteindre le pouvoir, militent pour la « bien-pensance » tout en pratiquant des méthodes de tueurs pour arriver à leur fin. Il y a ce que l’on nous montre et ce qui se passe dans la coulisse.
Les actions de ces responsables politiques étrillés entre la fausse sympathie qu’il sont obligés d’afficher et le défrichage de l’amont qui consiste à l’élimination de toutes choses ou personnes susceptibles de les gêner, tourne souvent à une transformation inéluctable du comportement de ces acteurs qui deviennent démons et anges à la fois et qui s’enlaidissent dans leur morale.
Le monde de l’image est une statue de cire façonnée par les codes de communication imposés par les influenceurs. Le politique se présente comme un tout mais en partie ! Du coup la synthèse n’est qu’une accumulation de mot pour une foule préparée à tout accepter.
Les bindéamudes qui en découlent ne sont que des solutions vénales inspirées par un banquier véreux qui en a fait un évangile politique glorifié des humains à mitres qui demandent à sanctifier des offrandes ! N’est-ce pas là une supercherie digne de Raël ?