L’un est truffé d’oranges mécaniques et l’autre de granite existentiel
L’un est informé, l’autre est enseveli près de la case de l’oncle pomme
Le jardin enchanté tournicote autour des noyaux cupulaires
Et le tout sous la critique de la déraison pure perdue dans la boue
De camouflets en camouflets le gamin rétrécit le chant de la sirène
» Jette ton masque, regarde-moi dans le blanc de ma capsulaire ovalie »
La jeunesse flanquée sur le bateau d’un retour inventé de toute pièce
Il glisse sa litote sur le pavé Bretonneux du lie hivernal à moins 50
Au fil des ans, le raisin de la colère devient la raison des dolmenators !
» Dieu, pourquoi m’as tu abandonné ? Qu’est-ce que je fous à Paimpol « ?
Crie le pied noir aux mains d’argile. Lui non plus faisait semblant
Les yeux pour pleurer et les mains pour capeler la rotule bleue du sphinx
Voici de l’or, voici des fruits, voila le temps des pierre et des menhirs
Pas de pleurs ni de grimaces et encore moins de jérémiades, juste des pierres !
Des pierre, du vent, des criticités de phacochère adoptés sur un malentendu
Idoles crépusculaires, esquimaux psalmodiés et souriceaux floculeux
Le pire n’est que ruine de l’âme
FQ-23