Rébecca, Karim, Paul et les autres

Tant de préjugés qui s’étirent en marée

Rêvons encore d’un monde sans haine

Où les âmes s’unissent planifiant leurs chimères

Sur une portée molto Bello joyeuse et rétive

Les mots dansent en folie et dada se dévoile

Ce monde qui se parjure dans l’ombre de la mort

Partons vers une clairière enchantée d’amour et d’eau fraîche

Un endroit où l’antisémitisme s’évapore comme une goutte en plein soleil

Notre temps rejoint le passé, regardons plutôt le futur

Au-delà de l’horreur, des souvenirs confondus, des gémissements

Partons là où la pensée humaine est constructive

Un univers ou le crime et la haine n’auraient pas lieu d’être

Cela existe bien quelque part, n’en doutons pas

Il suffit de vouloir que l’humanité regarde sa réalité

Qu’elle constate sa cruauté face à face sans se défiler

Et qu’elle lui tourne le dos une bonne « foi » pour toute

Sinon, A quoi cela sert-il de vivre ?

FQ-23