Tu ne recules jamais au crépuscule de l’hiver l’âme s’ouvre où commence la plénitude Même ton cri sur la portée dévolue renonce au parfum dévêtu Glaise glaise Le baiser du survivant Tout nous concentre sur l’esprit accroupiSur l’espace des vieux de paille froide Connaitrai- je un jour l’essor de ce bois Qui culmine sur le mont ensoleillé Sans fixer l’ombre […]
