Le cor du temps qui s’enrhume sur l'hypothèse du son est à claironner de suiteLa liesse indésirable qui en découle, s'oublie dans une hécatombe à portes ouvertesLes tumultes outranciers qui surgissent en soldats de plaine, réduisent l'agonie du pleutreOn trouve souvent l’espiègle prés du vestibule qui n'accorde aucun principe de liberté
Parsemée de bêches à pointes éclaires, Zeus fit un don à Poséidon qui l'accepta de suiteEt si le ricochet de l'étoile n'eut pas le succès escompté, c'était sans compter avec l'hiverFlocons d'argent qui s'ancrent vers une poubelle de terre cuite en délire de persécutionOn n'avait jamais vu cela de mémoire de flibustier nippon dans la foret ultime de l'usine
Chassant le destin maudit il pris la tangente de l'étrange et s'engouffra dans l'impossible Merlin, le filou "destruquistes temporélis", désigna l'épée d'or à tartiflette comme blasonPour tout mandat de territoire, il s'écueille, victime de la colonie hybride à clés molestée.Personne ne croyait en lui malgré les dictons d'enfance persiflés à l'arrosoir fou
Une capsule dans l'univers, un tuba sur la tête et voilà que la rose trempa son dard la Cousine Gertrude s’endormant sous une pluie de ménestrels volants lui sautant aux yeuxPartie de chasse bridée sur une pincée de sel herbivore qui s'achemine vers la prairie de feuUn univers décapsulé à la barre thermique qui n'a que de l'eau de rose pour vaccin. C'est bientôt Pâques
Frédéric Quillet