Sous le ciel des bipper téllurés s’ouvre le chakra du midi-chlorien
Et sous les souches du Vésuve calciné s’ouvre l’hydromel du temps
L’ombre du doute sous le bémol de l’urgence craint l’hiver du silex
Et quand des ocres ratillés soulignent les mesures des anges, tout s’agglutine
Pinte d’eau, galopin de coca, pin’s de bière et l’errance des larmes perdus
On passe les thés sous une bâche de comptoir écrémée rush de boa
Tout remonte vers la dose de café de Jonas qui fait cela pour toi
En vrai, trop tassé, plus d’eau, moins tellurique et plus sans pitié