Les yeux de Mona, Le huitième rang, humains trop humains !
Niché dans l’entreligne de la diphtongue épicurienne, le roi se meurt
D’albatros en albatros on égorge le chien de Baskerville
L’étau se resserre sur la morgue démembrée et frileuse
Gèle du temps actinique sur la mort dégénérée
Bonne nuit, bonne nuit , c’est l’heure d’aller danser
Sur les cendres rectilignes et songeurs du cinéma perdu
Seuls les quais chantent l’éternelle rivière dandinante
Toi qui connais la vie, déchiffre-tu les clés de ce texte »mensOngeur »
Les trous noir en carton-pâte planqués sous les barricades
Hier c’était le printemps, aujourd’hui le temps est emprunté et l’eau tonne
Mon cerveau s’extase dans les coulisses des portes déshydratées
La flamme trépasse sur la mitraille des images défendues
Sans rien attendre, il fait sa loi et réclame les étoiles de la probité
Les sons éclosent au confin de la barrière de Neptune la lumineuse
Quelle chance de vivre avec les fientes de pigeons !
FQ 24