Jour du coeur public, criminel
Jour de marche salutaire, de l’après-vous
Jour d’hypocrisie ludique, imperméable
Trace d’ardeur dévoyée sur une colline de sel emprunté
Matin d’été trois, trois, trois fourmis rouges
Il ne reste que les os altérés désormais
Aurore sucrée, bavarde, marine, esclonienne
Main de poivre martelée dans la graisse antiqué de javel rouge
Mercure sournois qui suspend le vol d’Icare en bon polar autrichien
Alléluia, allégorie, vierge bavarde, crétin insulaire, cerveau de cage
Une mer à l’homme qui divague sur la prison de ses rêves
Calmes sont les soldats adipeux et gelés. Aout, pourtant et tout fout le camp
Ondes magnétiques, champs Soupaulétiques Bretonneux, filandreux
Flammes marchandes et volets rapides effrayés par l’échafaudage naïf
Une sphère, un langage, un rongeurs, une tombe, cet enfant….
Cette abeille triste moins mielleuse…plus Bourdon que reine
Cet instant où tout était encore évitable…Et puis ce geste : la fin de tout
F.Q