Merci félin ! Au matin des mes pantoufles pittoresques
Tel le pictural divin, tu t’approches et te trahis
Ainsi se déverse la bleuté de tes ronronnements pontifiants
Jouant autour de mon nombril sur fond de cercle impromptu
Il chante le bougre, hommage, Homère, triste fond d’épine !
Le pont soupir sur l’instant magique de la brume attristée
Le voyant est aveugle sur ce monde à quatre pattes nobiliaire
Et quand l’œil fellinien s’étend sur l’étreinte, l’esprit s’allume et Hugo apparait :
CONTEMPLATIONS !
F.Q