Je ne sais pas !
1 min readQuand mon chagrin succombe, j’en remets une couche
En totale hécatombe, l’amour décline l’âme exilée
Que dirait Bérénice dont la vertu au destin brumeux
S’enfuit au large avec l’ami Titus ?
Et tombe la lyre sur le matin souriant de roses inconsolables
Que fait le son du silence à cœur-joie ?
Et si, sans toi, Bérénice, Titus pouvait redevenir Titus ?
Illusion ! cachot croquant, destin amorphe comme une chanson de Renaud
Porte-lumière qui envie la fleur pétrifiée en cale sèche
Et le buisson prie ardemment sur le rameau ramolli (le rameau lit Houellebecq ! )
Maux de faveur qui s’estompe sans une once de poudrière aigue
Une fauvette contemplative sort son jeu de paume boisé
Pardonne-lui, il ne savait pas !
F.Q