Quand mon chagrin succombe, j’en remets une couche
En totale hécatombe, l’amour décline l’âme exilée
Que dirait Bérénice dont la vertu au destin brumeux
S’enfuit au large avec l’ami Titus ?
Et tombe la lyre sur le matin souriant de roses inconsolables
Que fait le son du silence à cœur-joie ?
Et si, sans toi, Bérénice, Titus pouvait redevenir Titus ?
Illusion ! cachot croquant, destin amorphe comme une chanson de Renaud
Porte-lumière qui envie la fleur pétrifiée en cale sèche
Et le buisson prie ardemment sur le rameau ramolli (le rameau lit Houellebecq ! )
Maux de faveur qui s’estompe sans une once de poudrière aigue
Une fauvette contemplative sort son jeu de paume boisé
Pardonne-lui, il ne savait pas !
F.Q