Si tu nettoies la rose…Si tu reçois la prose
si tu renvoies ta cause sur le nu de l’hiver
Alors, la corde du violoniste sera un emblème
Pour toutes les virgules enrôlées sur le chemin
Sombres furent ses songes avant la lumière
Autant de signaux déployés sur le tortillard du silence
Et oscillent les temps amoindris des empires éphémères
He want be isis on the heart who all is night
Tes promesses d’existence, tes détresses pénitences
bréviaire d’un carabin alambiqué vitipulant sur la plage téleste
Riad, rillettes, Moscou, mokoko makéké, prisunic, cofidis
It’s time to send your life to the oubliettes of Rouen The town of the death’s Jeanne !
L’abbé Cédaire ne jouit plus sur la baie des cochons grillés
Pransonnière des carpates transfigurant l’âme du gouffre
Situationniste improbable punissant les établis outillés
Et tremble l’étoile de la mort crépitant de vie clonesque !
Tout est absurde
Frékié