Sardine à l’aigle dur

Sardine à l’aigle dur

Trompette glacée qui casse la glace sous une lampe fuyante 

Les dents étoilées et carrées timbrent le poumon du thon

Il tourne sa chemise à fleur vers la montre de jésus postée vers le ciel

Une pierre s’agite dans le noir

Je suis l’âme seule qui danse avec le seigneur vert et froid 

La grandes roue foudroye la botte secrète du régime gelé 

Mes pieds rencontrent le vide de ton regard mis bout à bout

Princes d’oiseaux bleus digérés par des loups gris

Attaque surprise sur l’Atlantique. Silhouette sur le port de Lorient 

Convois décimés par l’ébauche militaire d’une France captive

Le ton érotique a céssé de battre sur le port Breton silencieux

Et les flèches ciblées ont cédées la place à l’amiral germanique

Frékié

Le daddysme