Le tube mise sur la discrétion du terme échu Il n’impose en rien la dialectique impressionniste du poisson-chat. Dermatologiquement immunisé contre la fourniture solaire, le tube n’impressionne que les cancres et les radicaux de droite. Allez savoir pourquoi.
Le tube est un modèle de prétention inéluctable. Parfois reconditionné, il garde en lui la mémoire souvent atroce de son dernier maître. Le tube est à emporter. Ne jamais le consommer sur place. Le prix est le même bien qu’aujourd’hui les sacs soient interdits.
L’inspiration « tubique » correspond à la racine carrée du néant dermatologique. C’est un choix. D’ailleurs, ne dit-on pas “ L’accole tube “ ? Eh bien non, on ne le dit pas. Les espaces-tubes sont rhétoriques et parfois cycliques. Ils convergent de la cité phocéenne à l’indélicate place Papandréou près de Salonique qui existera un jour.
On peut entuber deux fois la même personne mais on ne peut pas personnifier deux fois le même tube. C’est un fait mathématique qu’aucun scientifique sérieux n’osera remettre en cause. Si la coulisse ne sert pas le tube qui dort, on ne peut pas dire la même chose du trombone qui appartient à une catégorie d’exception.
Il y a des tubes célèbres. Bien évidement celui de Monsieur Aspirine, le célèbre « philmophe » Russe, et le plus connu. Malgré tout, personne n’a oublié le tube de l’été ou plutôt le tube qui était. Car tout tube d’été devient un être du passé, c’est une évidence.
La densité du tube ne dépend pas du poids de son possédant. Un gros peut détenir un tube fin et versa-vice. Une vis ne peut posséder de tube. Là aussi, c’est une évidence scientifique. Bien armé, un tube corrige toujours les variables saisonnières.
On perçoit le tube comme un élément obsolète et intégriste. C’est faux. Cependant, on peut très logiquement le qualifier d’objet dangereux voué à vous décérébrer le temps d’une saison. Malgré tube (vous voyez ? ) tout n’est pas si relatif que cela . Il se pourrait que cette théorie soit à 100 % vraie surtout si on inclue au tube musicale, le tube cathodique insidieusement remplacé par des technologies nouvelles encore plus perverses et perfides !
La pensée tubulaire se termine toujours en eau de boudin.
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