Chapitre I : L’angoisse civilisationnelle

Chapitre I : L’angoisse civilisationnelle

Le temps est abrasif. Il rumine sur le Rubicon de l’âme échappée sur la lisère des forêts destituées. L’ombre du Pilate chemine sur l’instant pur des éléments maudits. La note déchaine l’histoire. Un hymne, un retard, un temps éloigné, le vent qui tourne. Construction de l’infini sur l’hôtel de la paresse épurée. Les mots s’empilent telle la redingote farfelue. Décence de l’univers qui suture l’audacieuse rigole épurée. Quelle sera l’issue de l’art décadent dans cette aventure anachronique. L’absurde est talée sur la chaîne d’un peuple misanthrope fruité à souhait.

Vorace citadelle qui fuit la douce vertu de Socrate et de son œsophage. L’hirondelle fait l’ire du printemps révolu. Le pied emboite le pas du gymnase amnésique et le système dément toute implication dans la pollution des âmes. Quel est donc ce fléau qui peut rivaliser voire dépasser la pollution des âmes ? Attendrait-il encore sa création. L’avènement d’un tel bouleversement ne saurait rivaliser avec la mécanique huilée et ordonnée par les puissants de ce monde qui camouflent au mieux qu’ils peuvent le savoir  et l’allégorie chronique de la pensée.  On fabrique des pauvres en esprit pour qu’ils ne se souviennent que de leur code secret d’une carte bleutée saint-graal de leur fausse liberté.

Petite valise de défiance. Ses joues sont fatiguées. Son  âme silencieuse s’installe dans le néant de sa pensée. Même si ce monde est absurde, son idylle le rend superbe. Prendre la mélasse des conducteurs corrompus sur une langue manifeste et réaliste. La baie est cochonnée par une spinuleuse grenouillère aquatique. Elle prône le sel et la terre. Et même si son pique-pique te rend irritable, les mots continuent de défiler en jazz démesuré tentant de dominer l’ingratitude d’un orteil délicat qui attend l’eau savonneuse matinale pour le soulager de sa crasse abusive.

Il se fait tôt encore. La douche n’est pas encore établie. Sans douche, tu files dans une illusion brossière. Sans doute tu épiles le haut ! L’hache hausse le ton emmenant la gencive sur une base délicate que nul n’apprécie lorsqu’il est torturé par les prières du mal farfelu. On en oublie les raisons de la vie. Pourquoi l’oraison des flammes doumdoum passant sous silence les exploits de ce sorcier issu de nulle part ?  Un sou reste un fou. L’étreinte de ces mots appliqués sur cet espace prône l’indifférence.  On feint d’ignorer sans connaître les vapeurs abrasives des follitudes stimulées.  Parfois on l’ampute d’une aile. C’est selon les énergies intellectuelles. Ceux qui font les mots s’engouffrent souvent dans des logiques falariques . Etrange testament d’un âge moyen de haut-château.

A bulbe insoumis, on arbore les potions temporelles qui soulagent les univers délités. Les sons de l’asphalte n’ont pas de délusion cosmique.  Elles sont interrègnes et angoissent le pourtourne des fibules existentielles qui foulent les pièces interdites de la cité silique et mortaiseuse.  Et l’on peut continuer comme cela en un clin d’œil d’horizon philiatre. Les mots ! On en fait ce qu’on veut ! Les notes ! On les triture tels des sons abasiques. Il reste le temps des ormes romaines.  Construction d’un trône tronqué et issu de la trio-diversité. 

Absurde Roman inachevé